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15/01/2010

_A Hal Clement checklist_

A Hal Clement checklist : Chris DRUMM : 1980 (?) : Chris Drumm (série "Checklist") : pas d'ISBN : non paginé (pas d'index) : coûtait 50 cents pour un chapbook non illustré formé de quatre feuilles format plus petit que A5 en papier rigide agrafées ensemble, qui semble exister sous diverses formes à des prix assez élevés, mon exemplaire disposant en plus d'une feuille volante microscopique d'ajouts.

A Hal Clement checklist.jpg

Cet ouvrage fait partie de la série de bibliographies compilées et éditées par Chris Drumm. Au vu de divers éléments internes (le livre n'est pas daté clairement) il s'agit là probablement de l'un des premiers titres de la série (qui en comprendra finalement une douzaine). Il est consacré à Hal Clement, l'auteur le plus emblématique de la Hard Science et qui, à ce titre, possède toujours une cote d'amour élevée chez certains amateurs malgré un nombre de textes produits finalement assez peu élevé.

From outer space (Avon 1957).jpg

Cette bibliographie est de structure assez basique puisqu'elle consiste en un simple listing par ordre chronologique des textes de l'auteur. Ils sont donc regroupés par année (de 1942, sa première parution avec Proof à 1980 avec le roman The nitrogen fix) quel que soit leur type (romans, recueils, anthologies éditées ou nouvelles). Pour chaque item, un certain nombre d'informations bibliographiques sont données suivant le type, par exemple pagination et prix pour les livres, parutions successives pour les textes courts. A noter que les réimpressions (dans la même collection) ne sont pas toutes listées, que la couverture ne concerne que les parutions en anglais et que l'ouvrage n'offre pas d'index.

Ocean on top (DAW 1973).jpg

En matière de production, on est dans le côté amateur le plus absolu avec des lignes de textes même pas parallèles, des annotations rajoutées à la main et à peine lisibles et plusieurs strates d'ajouts (y compris donc sur feuille volante). Un travail typique de l'époque de la machine à écrire ou tout oubli ou addition devenait un problème (je le sais pour avoir commis des choses similaires). Il n'en reste pas moins que tout cela représente une quantité non négligeable de travail fourni de façon quasi bénévole par Drumm.

Natives of space (Ballantine 1970).jpg

Il est donc difficile de juger objectivement de l'utilité d'un tel ouvrage à la fois ancien, lacunaire et que l'absence d'index par titre rend assez peu aisé à consulter même si le faible nombre d'items (seulement 53) permet de le parcourir d'une façon systématique à chaque recherche. On lui préfèrera logiquement la nettement plus étoffée bibliographie sortie chez GCP dont la dernière version (la 5ème) date quand même de 1989.

Astounding 1951-10.jpg

Note GHOR : 1 étoile

14/01/2010

_The inter-galactic playground : A critical study of children's and teens' science fiction _

The inter-galactic playground : A critical study of children's and teens' science fiction : Farah MENDLESOHN : 2009 : McFarland (série Critical explorations in science fiction and fantasy #14) : ISBN-13 978-0-7864-3503-6 : vii+273 pages (y compris bibliographie et index) : 45 Euros pour un TP non illustré au pelliculage peu solide, disponible chez l'éditeur : http://www.mcfarlandpub.com/book-2.php?id=978-0-7864-3503-6.

The inter-galactic playground.jpg

Cet ouvrage a été écrit par Farah Mendlesohn, une des figures importantes de la réflexion britannique sur le genre, rédactrice en chef de la revue universitaire Foundation et coordinatrice de plusieurs livres de référence sur la science fiction (The Cambridge companion to SF, The true knowledge of Ken MacLeod). Comme l'indique clairement son sous-titre, il s'agit d'une étude sur la SF (la Fantasy n'est que marginalement évoquée) destinée aux enfants et adolescents, un type de SF qui possède un certain nombre de spécificités et dont l'articulation avec la SF "pour adultes" n'est pas aussi simple qu'il n'y paraît.

The true knowledge of Ken MacLeod.jpg

Cet essai est composé de sept chapitres de longueur inégale (certains ayant déjà été publiés sous des formes différentes). Le premier (et le plus court) est l'usuel exercice de définition de la science fiction,le suivant débroussaille ce que l'on sait (ou que l'on suppose) des protocoles de lecteurs des jeunes et le troisième traite de la perception de la science par la jeunesse. On revient à la SF avec le quatrième qui présente une histoire condensée de la SF, du "juvenile" des années 50 au "YA novel" du XXIème siècle. Les deux chapitres suivants explorent un certains nombres de thèmes ou d'intrigues récurrentes alors que le dernier est une sorte de "best-of" récapitulatif qui liste les meilleurs romans de ce domaine. Plusieurs annexes sont fournies : un index de l'anthologie Out of this world, le texte et l'analyse des réponses au questionnaire utilisé par l'auteur pour obtenir des données brutes, une partie consacrée aux livres d'images de SF non incluse dans le corps de l'ouvrage. On trouve enfin les pages de notes, une bibliographie générale et un index.

Space 2 (Beaver).jpg

Visiblement, il s'agit là d'un ouvrage solide et parfaitement documenté sur un sujet qui n'est que survolé par la plupart des études sur le genre alors même que l'on peut penser qu'une (importante ?) partie des lecteurs adultes actuels est formée de personnes ayant lu de la SF très tôt. Particulièrement intéressante est la partie historique où Mendlesohn montre le glissement progressif du genre, qui passe des "juveniles" (Heinlein, Norton) qui véhiculaient des valeurs d'ouverture assez proches de celle de la SF adulte aux "YA novels" qui semblent montrer un certain repli sur les relations interpersonnelles.

The new world order (Corgi 2006).jpg

Le seul problème avec cet ouvrage est essentiellement que, si la SF "adulte" est assez internationale et homogène (au sens où les mêmes textes sont disponibles plus ou moins en même temps), la SF pour la jeunesse est beaucoup plus spécifique à chaque pays (ou langue) avec des auteurs, des modes ou des paramètres éditoriaux propres. Du coup, vu le faible nombre des ouvrages évoqués qui sont traduits, il est difficile de transposer les théories de l'auteur à notre pays ou de les croiser avec notre propre expérience (quid de P. Ebly ou de l'influence de la bande dessinée de SF, des phénomènes typiquement locaux). On lit donc tout cela avec intérêt malgré le prix relativement élevé de l'ouvrage au vu de sa présentation, mais on se demande toujours si les conclusions tirées par l'auteur sont applicables à la francophonie et si oui, dans quelle mesure.

The web 2027 (Millenium 1999).jpg

Note GHOR : 2 étoiles

13/01/2010

_Les guides de l'imaginaire : 1. Les thèmes_

Les guides de l'imaginaire : 1. Les thèmes : Alain DOUILLY : 2002 : Bandits Company/La tête ailleurs : pas d'ISBN : 209 pages (y compris une sorte d'index) : coûtait 15 Euros pour un TP largement illustré en couleur à tirage limité (2700 exemplaires).

Les guides de l'imaginaire T1.jpg

Ce guide est dû à la plume d'Alain Douilly, un libraire de la région parisienne qui a récemment sorti un livre sur la collection Anticipation (voir http://ghor.hautetfort.com/archive/2009/02/16/anticipatio...). La présence d'une numérotation indique qu'il faisait partie d'un ensemble projeté comportant trois ouvrages, le second étant justement consacré au FNA et le troisième aux "Suites, séries et sagas". Hélas, cette aventure semble s'être arrêtée immédiatement avec ce premier volume même s'il est logique de penser que le deuxième tome a servi de base à l'ouvrage évoqué plus haut.

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L'ouvrage débute par une courte présentation qui permet à l'auteur de préciser le vocabulaire propre aux différents genres (puisqu'il couvre la SF, la Fantasy, l'Horreur et le Fantastique) par le biais d'une énumération des divers sous-genres qui les composent. Conformément à son sous-titre, le reste de l'ouvrage est constitué d'un guide thématique qui propose pour un thème donné une sélection de livres où il est abordé. Douilly commence la quarantaine de thèmes traités par Apocalypse/Catastrophes et termine par Virus en passant par Extraterrestres ou Médiéval magique. Pour chacun d'entre eux, il nous propose entre dix et quarante livres organisés (vaguement) par ordre alphabétique d'auteur à l'aide d'un court résumé. Il fournit aussi quelques maigres indications bibliographiques (éditions, appartenance à un cycle). L'ensemble est illustré par un grand nombre de reproductions de couvertures en couleur, parfois en pleine page. Un index par nom d'auteur et titre pointant vers le thème permet de s'y retrouver.

Chroniques du pays des mères (LDP 1996).jpg

Voici un livre qu'il serait extrêmement facile à éreinter : énormes erreurs d'attributions comme ce Seigneurs de lumière (notez la coquille sur le titre) soi-disant écrit par Silverberg alors que la couverture du livre avec le bon auteur est justement reproduite à côté, petites erreurs d'attribution comme ce Lait de la chimère sous la plume de Kit Reed (Douilly a au moins le nom de famille de bon), tromperie sur l'auteur comme ce Planète des dinosaures indiquant Ray Bradbury alors que ce sharecrop est dû à Stephen Leigh; appartenance de certains titres à certains thèmes douteuse (Les dieux eux-mêmes présentés comme une histoire d'invasion) ou choix discutables en terme de qualité (les Hubbard); absence de table de matières qui rend l'index inexploitable du fait que les numéros de pages des thèmes ne sont donc indiqués nulle part (et une fois que l'on a compris que De Camp est classé à son prénom Sprague); choix des éditions mentionnées (puisqu'elles ne le sont pas toutes) d'une logique incompréhensible; informations sur les textes très limitées (pas de date, pas de TO, pas de VT comme pour Les 6 lendemains) ou simple incapacité d'imprimer correctement les trémas (qui transforme les ë en sortes de D cyrilliques).

Seigneur de lumière (Denoel 1984).jpg

Mais voilà, pour un amateur de couvertures comme moi, l'ouvrage a un capital sympathie très important qui le rend très agréable à feuilleter, d'autant que la qualité de reproduction est très bonne (grâce à un papier de qualité). De plus, Douilly fait l'effort méritoire de sortir des sentiers battus (même si les textes ultra connus sont bien là) ce qui rend ce guide intéressant à mettre entre les mains de néophytes ou d'amateurs moins chevronnés qui pourront ainsi être amenés à découvrir des choses aussi obscures (malgré leurs qualités) que Caroline oh ! Caroline ! ou la série des Lord Darcy. Au final un ouvrage d'initiation séduisant qui aurait quand même gagné à être un peu vérifié.

Caroline Oh ! Caroline (Le Masque 1976).jpg

Note GHOR : 2 étoiles

12/01/2010

_Grumbles from the grave_

Grumbles from the grave : Robert A. HEINLEIN (édité par Virginia HEINLEIN) : 1990 : Del Rey : ISBN-10 0-345-36941-6 : xxi+325 pages (y compris index) : coûtait 6 USD pour un PB illustré de photos en N&B, existe aussi en HC (-36246-2).

Grumbles from the grave.jpg

Ce livre, dont il semble que Heinlein avait plus ou moins prévu la parution de son vivant (voir page 115), a été publié en 1990 juste dans la foulée du décès de l'auteur alors que la popularité de ce dernier était encore perceptible (et surtout monnayable comme le montre la mention "National bestseller" de la couverture). Edité par son épouse, il s'agit d'un ouvrage hybride, une sorte d'autobiographie qui a la particularité de n'être composée que d'extraits de lettres, à la fois celles écrites par RAH mais aussi celles qu'il recevait.

Astounding 1956-02.jpg

Après une courte introduction biographique d'une vingtaine de pages, l'ouvrage se divise en quinze chapitres de longueur très inégale (de moins d'une dizaine à une cinquantaine de pages) qui sont consacrés à un thème précis (les débuts d'écrivain, les juveniles, Starship troopers, les voyages...). Comme indiqué, chacun d'entre eux est constitué d'extraits de courriers échangés entre Heinlein et divers correspondants (même si ses échanges avec Lurton Blassingame, son agent, forment l'essentiel des documents). Ces extraits sont datés et classés dans l'ordre chronologique avec parfois des subdivisions au sein de certains chapitres (par livre ou par sujet). Dans certains cas, Viriginia Heinlein fournit des informations supplémentaires permettant de comprendre le contexte sous forme de notes. Outre un index et une bibliographie schématique, plusieurs appendices sont fournis : le texte caviardé dans Red Planet par Scribner's, le prologue à Podkayne of Mars enlevé par Putnam et un compte-rendu de la Heinlein Retrospective par son épouse. A noter que le livre est illustré de nombreuses photos en N&B (voyages, réceptions, vie domestique, reprocdutions de couvertures) auquel le format poche ne rend guère justice.

D'une planète à l'autre (Mame 1958).jpg

En lui-même, cet ouvrage n'est pas inintéressant (excepté l'habituel travelogue auquel semblent souvent succomber les auteurs US) pour qui souhaite approfondir sa connaissance de l'homme qu'était Heinlein, malgré le fait que la structure même du livre apporte un effet stroboscopique assez désagréable puisque certains sujets sont expédiés en deux pages et quelques extraits de lettres. On peut aussi pardonner un certain mercantilisme qui conduit, à la mort d'un auteur important, à une profusion de titres dont l'opportunisme d'exploiter des cendres encore chaudes paraît être la motivation principale. On pourra aussi excuser la qualité très moyenne de l'iconographie, le papier utilisé pour un poche n'étant visiblement pas l'idéal en matière de finesse de reproduction.

La patrouille de l'espace (BR 1974).jpg

Mon principal regret vient d'une chose habituelle avec tout ce qui concerne Heinlein après sa mort, à savoir l'impression d'une censure très forte exercée par sa veuve sur tout ce qui concernait son défunt mari. On sent bien qu'il nous manque des éléments ou que les choses sont parfois présentées sous un jour plutôt favorable à l'auteur. Par exemple, la brouille de Heinlein avec Campbell, qui a pourtant constitué une étape importante dans la carrière de RAH et qui, connaissant les deux hommes (voir aussi le recueil des lettres de Campbell rassemblées par Chapdelaine), a dû donner lieu à de belles passes d'armes épistolaires, est presque complètement absente du livre. Idem pour la rupture avec Scribner's ou la réception plutôt tiède (un doux euphémisme) des romans tardifs qui a sûrement dû faire bondir l'auteur sur sa machine à écrire. On sent bien déjà cette légendaire volonté de fer de contrôler (de lisser ?) complètement l'image de Heinlein.

Astounding 1956-04.jpg

Au final, un livre trop partial et partiel pour constituer une base de départ utilisable pour comprendre pleinement la vie et l'oeuvre de cet auteur majeur du genre. ne reste que l'exploitation commerciale d'un nom.

Astounding 1957-09.jpg

Note GHOR : 1 étoile

11/01/2010

_The Gernsback days : A study of the evolution of modern science fiction from 1911 to 1936_

The Gernsback days : A study of the evolution of modern science fiction from 1911 to 1936 : Mike ASHLEY & Robert A. W. LOWNDES : 2004 : Wildside Press : ISBN-10 0-8095-1055-3 : 499 pages (y compris bibliographie et index) : 30 USD pour un TP non illustré.

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L'histoire et la structure de ce livre sont assez complexes. En effet, il s'agit tout d'abord non pas d'un seul texte mais de la concaténation de deux longs (de la taille d'un livre à eux seuls) essais d'auteurs différents (et même un troisième non mentionné, Charles D. HORNIG). De plus, c'est un projet qui a subi, de la part de Ashley ou plus précisément de ses éditeurs putatifs, un hiatus de plus d'une décennie. Rescapé de l'oubli par Wildside Press (un éditeur du type POD), cet ouvrage a enfin été rendu disponible en 2004. Le projet initial d'Ashley était de présenter un histoire des débuts de la SF sous l'angle Gernsbackien, une figure dont l'influence indéniable prête toujours à la controverse. A ce projet historique est venu s'amalgamer dans les années 80 l'essai de Lowndes.

Ralph 124c41+ (Cherry Tree).jpg

Comme indiqué plus haut, cet ouvrage se divise donc en plusieurs parties distinctes. La première et la plus longue (250 pages), The Gernsback days donne son nom à l'ensemble et est due à Ashley. Il s'agit en fait d'une sorte de biographie parallèle du la vie de la SF naissante et d'Hugo Gernsback couvrant le domaine américain et s'arrêtant en 1936 quand ce dernier se retire du genre. Nous devons les 120 pages de la deuxième partie (Yesterday's worlds of tomorrow) à Lowndes. Son sous-titre : A personal survey of the fiction in Grensback magazines, indique bien son objet, nous inviter à une promenade personnelle dans les premiers textes de SF. Elle prend la forme d'une chronologie (un chapitre par année) où l'auteur s'arrête sur les nouvelles qu'il estime marquantes.

Wonder Stories 1933-02.jpg

L'ouvrage est particulièrement riche en appendices puisque qu'il nous offre tout d'abord sur une dizaine de pages les souvenirs de Charles D. Hornig, le rédacteur en chef de Wonder stories. On trouve ensuite divers index consacrés aux publications de Gernsback, le premier pour les magazines non strictement SF, le second pour les différents Amazing Stories (jusqu'en 1929 quand le titre est vendu), le troisième pour la famille Wonder Stories et le dernier pour deux titres marginaux plus connotés policier. Suivent plusieurs pages de notes, une copieuse bibliographie et un index (noms propres et noms de revues seulement).

Les meilleurs récits de Amazing (JL 1974).jpg

Voici un bel exemple d'un livre précurseur qui, à cause de divers aléas, arrive seulement en plein milieu de la bataille. Il s'agit ici du combat pour la réhabilitation de Gernsback, une bataille menée par exemple par Westfahl (cf. The mechanics of wonder). Cet ouvrage, fruit d'un travail impeccable de la part de Ashley (comme d'habitude) est une excellente base de départ pour discuter sérieusement de ce personnage sur lequel tant de choses négatives sont dites, certaines justifiées mais d'autres venant du fait qu'il s'était fait des ennemis puissants et influents dans le genre (comme Wollheim).

Les meilleurs récits de Wonder (JL 1976).jpg

Je serais plus réservé sur la partie écrite par Lowndes qui n'est pas un travail d'historien mais plutôt une appréciation personnelle rédigée à posteriori. Même si les avis sur les textes eux-mêmes sont à prendre avec un certain recul (on préfèrera Bleiler sur le même sujet), elle est en tout cas intéressante en conjonction avec le travail de Ashley car elle apporte des informations sur ce que l'on pourrait voir comme l'ambiance qui régnait dans le genre à l'époque. Une partie des annexes (les index) est par contre inutile de nos jours si ce n'est comme source de vérification. Au final un très bon livre qui avait, lors de sa conception, presque dix ans d'avance sur la réflexion historique relative au genre et qui permet de donner des éléments factuels et recherchés sur le "père" du genre.

Les meilleurs récits de TWS (JL 1978).jpg

Note GHOR : 3 étoiles