04/05/2009
_Mindscapes : The geographies of imagined worlds_
Mindscapes : The geographies of imagined worlds : George E. SLUSSER & Eric S. RABKIN (éditeurs) : Souther Illinois UNiversity Press (série Alternatives) : 1989 : ISBN-10 0-8093-1454-1 : 302 pages (y compris index) : une vingtaine d'Euros pour un HC avec jaquette.

Ce volume fait partie de la série des minutes de la J. Llyod Eaton Conférence, un rassemblement thématique d'universitaires autour de la SF et de la Fantasy qui a lieu aux USA tous les ans. Sont recueillis ici 18 essais (+ 4 addenda) parmi ceux qui ont été présentés lors de la 9ème conférence (en 1987). Le thème était cette année-là les paysages mentaux, chose que l'on peut comprendre de multiples façons, que ce soit comme la cartographie de l'imaginaire au sens strict ou comme la simple géographie fictive.
Les textes présentés sont d'une longueur assez hétérogème (de huit à trente pages) et sont signés des trois catégories d'intervenants habituelles : les auteurs de SF (ici Anderson, Brin et Benford), les spécialistes du genre (Westfahl, Hassler) et les autres universitaires. On notera même la présence française parmi eux de Pascal J. Thomas.
D'une façon encore plus aigüe que d'habitude, il serait vain de chercher un fil conducteur à cet ouvrage (le préface est d'ailleurs assez elliptique sur ce sujet). Cela va d'un recensement des stations spatiales dans le genre (Westfahl qui recycle une étude qui lui a été commandée par la NASA) à une analyse de l'immortalité dans l'oeuvre de Card (Collings) en passant par une réflexion sur les contes pour enfants (Lee) et une lecture serrée de L'île de béton (Lutz).

Paradoxalement, c'est un peu ce côté touffu qui fait une partie de l'intérêt de cet ouvrage. Bien sûr il y a les habituels textes dûs à des extérieurs au genre qui enfourchent leurs dadas favoris que ce soient la poésie italienne (en VO) ou Shakespeare (McConnell). Il y a aussi les tentatives alambiquées et vouées à l'échec comme celle de Slusser. Ce dernier tente une analyse de certains livres de SF d'après leur couverture. Outre la curieuse idée de traiter d'un tel sujet sans fournir aucune illustration, le fait qu'il s'agisse de couvertures de Powers, illustrateur célèbre pour ses dessins sans aucun rapport avec le texte (qu'il ne lisait même pas) ou de la même période (voir ci-dessous un des livres évoqués par Slusser) montre le côté futile de la chose.

Malgré ces quelques loupés, les textes sont pour la plupart assez intéressants. La variété des approches (L'hypothèse Gaia en SF, les cités futures, l'utilisation des neurosciences dans le genre...) et la qualité des intervenants rendent donc au final l'ouvrage plus agréable à lire que les autres de la même série, et ca malgré l'absence d'unité thématique.
Note GHOR : 2 étoiles
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30/04/2009
_Who shaped science fiction ?_
Who shaped science fiction ? : Robert SABELLA : Kroshka Books : 2000 : ISBN-10 1-56072-520-6 : 281 pages (pas d'index, bibliographie secondaire) : une vingtaine d'Euros en neuf pour un HC.

Pour cet ouvrage, l'auteur est parti d'une idée très originale. Plutôt que de faire une n-ième liste des 100 meilleurs auteurs ou des 50 meilleurs livres ou des 350 meilleures nouvelles, pourquoi ne pas essayer de déterminer quels ont été les 100 personnages les plus influents de la SF, sachant qu'il s'est délibérément restreint à une perception américaine du genre. Histoire de corser la difficulté, Sabella a en plus décidé de classer ces 100 acteurs du genre par influence décroissante.
Ces principes nous donnent donc un ouvrage au schéma assez simple. Il y a exactement 100 articles classés par ordre d'importance, du premier et plus important (John W. Campbell) au centième (Kim Stanley Robinson). Chaque entrée consiste en une mini-biographie de la personne (entre une et deux pages) suivi d'une mini-chronologie (une demie-page). La biographie est clairement orientée afin de permettre au lecteur de comprendre pourquoi son sujet est crédité d'une influence sur le genre. Sabella inclut dans ses 100 sélectionnés des auteurs (la grosse majorité), des éditeurs, des rédacteurs en chef, des cinéastes ou des hommes de télévision, assurant ainsi une couverture large du genre. En seule annexe, on notera la présence d'un bibliographie secondaire squelettique (voir plus bas).

Ma première réaction à ce livre a été de trouver l'idée excellente, particulièrement originale et courageuse, la plupart des best-of de ce type n'osant jamais aller jusqu'au classement réel.
Bien sûr, on pourra toujours discuter justement de ce classement dont je vous livre les dix premiers : 1) Campbell, 2)Wells, 3)Heinlein, 4) E. R. Burroughs, 5) Gernsback, 6) E. E. Smith, 7) Verne, 8) Stapledon, 9) Wollheim et 10) Clarke. En ce qui me concerne, je le trouve parfaitement cohérent avec la perception du genre (de son histoire, de ses mouvements ou de ses fondateurs) telle qu'elle est aux USA. Par exemple, à la différence de la France, les éditors y ont été beaucoup plus influents (on en trouve logiquement trois dans les dix premiers). On peut aussi noter l'ombre de RAH et d'auteurs prisés des américains. On sera donc surpris si l'on compare avec la situation de la SF traduite en francophonie de ne trouver Dick qu'en 15ème place, Van Vogt en 69ème et Vance en 70ème alors que leur influence sur le genre est, chez nous, nettement plus marquée.

Je suis nettement plus dubitatif en ce qui concerne les entrées elles-mêmes. Pour être franc, elles m'ont fait l'impression, à la lecture, de n'être constituées que de collages de divers éléments d'analyse ou biographiques pris çà et là dans une minorité d'ouvrages de référence. Cette regrettable impression est hélas confirmé par la bibliographie des ouvrages utilisés qui se réduit à une petite demie-douzaine d'ouvrages (le C&N, Trillion year spree, le 20th century SF writers de Curtis Smith et les oeuvres complètes de Sam Moskowitz). Les notes relatives à chaque article confirment d'ailleurs le fait que quasiment aucune autre source n'a été utilisée.

Même si ces sources sont généralement excellentes (on mettra un bémol pour les Moskowitz), je trouve un peu dommage que Sabella ne soit pas allé plus loin que la paraphrase. Il ne manque pourtant pas d'ouvrages pointus sur ces cent personnes, ouvrages qui auraient pu permettre à l'auteur (s'il les avait synthétisés) de faire la différence en apportant sa propre analyse.
Au final un ouvrage décevant (il y a aussi quelques erreurs comme le fait de parler à longueur de livre de Brian STAPLEFORD) gâchant une bonne idée par une réalisation trop superficielle même si son classement est parfaitement valable. Il peut être utilisé pour faire découvrir rapidement les principaux acteurs du genre mais n'est pas assez fouillé pour permettre d'aller beaucoup plus loin.
Note GHOR : 1 étoile
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29/04/2009
_Alfred E. Van Vogt : Parcours d'une oeuvre_
Alfred E. Van Vogt : Parcours d'une oeuvre : Joseph ALTAIRAC : Encrage (collection Références #14) : 2000 : ISBN-10 2-251-74104-6 : 167 pages (y compris suppléments) : 10.67 Euros (à l'époque) pour un petit TP.

Paru dans une prometteuse (mais trop tôt arrêtée) collection de monographies d'auteurs de littérature populaire (Polar, SF, Horreur), cet ouvrage est un des rares livres consacrés à Van Vogt. Cet auteur important n'a été que peu étudié d'une façon approfondie puisque quasiment seuls Drake (voir par exemple http://ghor.hautetfort.com/archive/2009/04/08/a-e-van-vog...) et Altairac s'y sont attaqué d'une façon significative.
Après une courte introduction qui place immédiatement Van Vogt dans le registre de la fascination souvent ressentie pour cet écrivain, l'essai se poursuit par une partie biographique d'une vingtaine de pages qui divise la vie de l'auteur en grandes périodes (jeunesse au Canada, Astounding, Hubbard et la dianétique...).

La partie suivante ("Un prestidigitateur cosmique") constitue le coeur de l'ouvrage et passe en revue les nombreuses facettes de l'écrivain. Sont abordés successivement les techniques d'écriture chères à Van Vogt (les fameuses scènes de 800 mots ou le concept de fix-up), ses thèmes favoris (le surhomme, la conscience, la dictature), ses marottes (la dianétique, la sémantique générale), ses lubies (son usage si particulier de la science). Un point est aussi fait sur les héritiers de Van Vogt (en particulier Philip K. Dick) et d'une façon plus générale sur son influence sur le genre.
On trouve ensuite une partie réservée à une analyse détaillée (une vingtaine de pages) de la réception critique de Van Vogt en France, traitée par le biais des positions des principaux acteurs du genre (Klein, Sadoul, Duvic...).

Suit un autre gros morceau pour un auteur comme Van Vogt spécialiste de la transformation ou des fusions de textes, la bibliographie. Ici elle traite à la fois la VF (complète) et la VO (premières éditions ou parutions seulement) dans l'ordre chronologique quelle que soit la longueur (roman ou nouvelle) ou le type du texte (article ou fiction). Elle est aussi abondamment commentée tant sur les aspects purement "techniques" (composition pour les fix-ups, révisions) que sur le texte lui même avec à la fois l'avis de l'essayiste et de nombreux critiques.
On trouve en fin de volume un index de la bibliographie primaire, une bibliographie secondaire et une chronologie de la vie de l'auteur.

Il n'y a pas grand chose à dire de négatif sur cet ouvrage qui aborde un auteur controversé d'une façon qui réussit à communiquer un certain enthousiasme pour l'auteur sans tomber dans l'adulation aveugle (la partie sur la science à la sauce AEVV est savoureuse de férocité). Le propos est entraînant et on sent une véritable affection pour l'auteur et une grande tendresse pour certains de ses délires.
Même si la biographie ne s'écarte guère des sentiers balisés et que la bibliographie est basée sur des travaux antérieurs, la partie consacrée à la perception de l'auteur par le monde de la SF française est particulièrement originale et novatrice.
L'exercice (particulièrement ardu) de la bibliographie est très bien réalisé, avec seulement quelques points de détails discutables : des titres donnés comme alternatifs qui n'existent pas (ce sont plutôt des titres de travail), un index qui omet les recueils de nouvelles, une bibliographie secondaire qui aurait pu être étoffée (on pensera au livre de Myers sur la linguistique qui parle pas mal de l'auteur, voir http://ghor.hautetfort.com/archive/2009/02/04/aliens-and-...) et parfois une impression d'effacement de la voix d'Altairac devant celle d'autres critiques. Ces éléments mineurs sont bien sûr largement compensés par la présence de certaines éditions peu connues et des explications nombreuses sur les multiples variantes des oeuvres de Van Vogt.

Au final un livre très plaisant à lire, documenté et solidement construit, qui permet à certains d'entre nous de se souvenir avec émotion pourquoi ils trouvaient Van Vogt si "fascinant".
Note GHOR : 3 étoiles
10:29 | 10:29 | Etudes mono-auteur | Etudes mono-auteur | Lien permanent | Lien permanent | Commentaires (0) | Commentaires (0) | Tags : français, 3 étoiles | Tags : français, 3 étoiles
28/04/2009
_Alien encounters : Anatomy of science fiction_
Alien encounters : Anatomy of science fiction : Mark ROSE : toExcel : 1999 : ISBN-10 1-58348-533-3 : 216 pages (y compris index et notes regroupées en fin de volume): Quelques Euros pour un TP.

Tout d'abord, il me paraît important de préciser que cet ouvrage là est en fait une ré-impression (non modifiée) d'un essai publié initialement en 1981 aux presses universitaires de Harvard (il s'agit visiblement d'une photo-reproduction de l'ouvrage original). En effet, la réflexion de Mark Rose, un des théoriciens de la SF de l'époque est fermement ancrée dans les années 70.
Cet essai est basé sur l'idée que le paradigme de base de la SF est l'aliénation, un terme qui se prête bien à diverses interprétations, celle littérale de rencontre de l'autre et celle plus sociétale developpée par Marx ou Freud.
Après un premier chapitre qui, exercice habituel, tente de définir le SF (ici un genre en opposition mutuelle avec le réalisme et la fantasy) et d'en brosser un historique (qui pour Rose ne commence pas à Frankenstein mais plus tardivement en fin du XiXème siècle), l'auteur va développer son paradigme dans le deuxième chapitre ("Paradigm"). Pour l'illustrer, il va ensuite l'appliquer à plusieurs classes d'objets, ce qui donne quatre chapitres qui abordent donc successivement les possibles aliénations par rapport à la nature ("Space"), à l'histoire et aux processus historiques ("Time"), à l'automatisation ("Machine") et par rapport à soi-même ("Monster").

Globalement la réflexion de Rose n'appelle guère de critiques quand on la replace dans le contexte de la réflexion sur la SF de la fin des années 70, période où elle en est à ses débuts théoriques (Suvin, Wolfe). Les deux premières parties sur la constitution du genre sont d'un fort bon niveau et apportent des idées novatrices sur les processus à l'oeuvre dans la création d'un nouveau genre et son évolution (en trois temps pour Rose). La technique de récupération après-coup de grands anciens (Cyrano, Swift) est particulièrement pertinente.
En ce qui concerne le thèse centrale de Rose (la SF comme littérature de la rencontre avec l'autre), elle est assez classique pour être considéré comme pertinente même si elle conduit l'auteur à des classifications parfois arbitraires. Ceci conduit les derniers chapitres à parfois être plus une liste des variantes d'un même thème qu'une réflexion clairement dirigée.
Ce côté un peu "catalogue" peut paraître artificiel mais il faut reconnaître à Rose une grande varité dans le choix de ses exemples. Toutes les facettes du genre sont convoquées, tant en matière de médias (romans, nouvelles, films) que d'origines géographiques (qui dépasse largement le cadre anglo-saxon) ou d'écoles (du space-opéra d'Hamilton à la new-wave de Zoline).

Au final c'est en fait un ouvrage assez court (pas beaucoup de pages ni de lignes par page) qui peut offrir une bonne base de départ pour débuter dans la réflexion sur le genre. Son âge est toutefois à prendre en compte à la fois pour l'originalité de sa démarche mais aussi pour la pertinence de ses démonstrations.
Note GHOR : 2 étoiles
10:31 | 10:31 | Ouvrages généraux sur la SF | Ouvrages généraux sur la SF | Lien permanent | Lien permanent | Commentaires (0) | Commentaires (0) | Tags : anglais, 2 étoiles | Tags : anglais, 2 étoiles
27/04/2009
_Sci-Fi art : A graphic history_
Sci-Fi art : A Graphic history : Steve HOLLAND (et al.) : Collins Design : 2009 : ISBN-13 978-0-06-168489-0 : 192 pages (y compris index) : une vingtaine d'Euros pour un assez gros TP avec rabats (pour la solidité voir plus bas).

Cet ouvrage se veut un panorama historique des diverses formes d'art SF de ces 150 dernières années sous l'angle graphique. C'est une collaboration entre divers spécialistes sous la direction de Steve Holland, qui est lui un expert de la SF (et de la littérature populaire) britannique (on lui doit l'excellent The mushroom jungle chez Zeon).

Physiquement l'ouvrage est à mi-chemin entre le coffee-table book et le recueil d'illustrations et adopte un format carré. Il est organisé en six parties principales d'une longueur variable qui abordent chacune un des pans de l'art graphique dans la SF :
- "Foundations of SF art" qui traite des pionniers, ici dans un sens assez large puisque allant du 19ème siècle jusqu'à la fin de la 2GM. Logiquement (faute de matière en terme de livres de SF), cette partie se concentre sur les magazines puis sur les pulps spécialisés.
- "Book covers & magazines" prend le relais et couvre la production d'illustrations SF depuis 1945. Ici la proportion s'inverse puisque le livre devient le support principal des oeuvres.

- "Comic books" passe dans le monde de la bande dessinée (pour nous autres francophones) et aborde l'ensemble de cet univers dans ses déclinaisons "locales" (comics, manga).
- "Concept art" est une partie un peu fourre-tout où se mêlent les dessins astronomiques de Bonestell, les projets de décors pour le cinéma ou la SF télévisuelle.
- "Cinema art" ne s'occupe que de la partie illustration et non pas du cinéma en général, essentiellement par le biais des affiches et des films d'animation.
- "Other media" rassemble, comme son nom l'indique, tout ce qui est illustré et en rapport avec la SF mais ne rentre pas dans les catégories précédentes : boîtes de jeux vidéos, jouets, pochettes de disques...
Chacune de ces parties se subdivise en petits chapitres (souvent sur une double page) qui sont soit consacrées à une partie de l'histoire globale du domaine en fonction des tendances saillantes (les pulps des années 30 & 40), soit à un thème encore plus précis, souvent un artiste (Powers, Foss, Paul, Hardy, Berkey, Freas) ou une oeuvre (Dan Dare,le RPG Final Fantasy).

Cet ouvrage remplit parfaitement le rôle qui lui est assigné, à savoir brosser un histoire des représentations graphiques de la SF. Il est servi par une iconographie de qualité qui présente des reproductions de bonne qualité (sur un bon papier) mises en valeur par le choix d'illustrations pleine page et l'usage très limité de vignettes ce qui permet d'apprécier le travail des artistes, y compris pour les planches de BD.
On appéciera la grande maitrîse du sujet par les intervenants (du moins pour les domaines que je connais), puisque le nombre de coquilles ou d'erreurs est minime. De plus, cette histoire est véritablement internationale au sens où elle ne se borne pas aux USA. La partie britannique est developpée et elle fait aussi une large part à des artistes francophones, en particulier dans la BD (on nous parle de Mezières, Robida, Moebius, Topor/Laloux, Druillet).

Le seul gros grief que j'ai est de l'ordre de la technique et de la qualité physique du produit. En effet mon exemplaire neuf, pourtant manié avec précaution (lu une seule fois), est en train de déjà partir en lambeaux : la couverture est presque désolidarisée et les cahiers se séparent. Le collage de l'ouvrage est visiblement d'une légèreté impressionnante et incongrue pour un recueil d'illustrations que l'on peut penser destiné à être ouvert à plat afin d'en profiter au mieux. A cela s'ajoute l'utilisation de pages de gardes noir mat du genre de celles qui gardent bien les traces de doigts.
Il est vraiment dommage que la qualité ne soit pas au rendez-vous pour cet ouvrage qui n'est pas vraiment donné. Il reste à espérer que cela n'affecte que mon exemplaire. C'est en tout cas un bonne initiation à l'histoire graphique du genre, très agréable à lire mais qui reste évidemment très schématique compte tenu de la faible quantité de texte.
Note GHOR : 2 étoiles (en ne tenant pas compte de l'auto-destruction de mon exemplaire, 0 étoile sinon)
10:25 | 10:25 | Ouvrages généraux sur la SF | Ouvrages généraux sur la SF | Lien permanent | Lien permanent | Commentaires (0) | Commentaires (0) | Tags : anglais, 2 étoiles | Tags : anglais, 2 étoiles