16/07/2013
_The span of mainstream and science fiction_
The span of mainstream and science fiction : A critical study of a new literary genre : Peter BRIGG : 2002 : McFarland : ISBN-10 0-7864-1304-2 : 212 pages (y compris bibliographie et index) : coûte 35 USD pour un tp non illustré (probablement en POD), disponible chez l'éditeur (là : http://www.mcfarlandpub.com/book-2.php?isbn=0-7864-1304-2).
Le problème de l'intersection du mainstream (qu'on l'appelle "mundane fiction", littérature générale ou roman réaliste) et de la SF a toujours été présent dans les réflexions sur le genre. Il est d'autant plus d'actualité qu'un nombre toujours plus grand d'auteurs hors de la SF utilisent (certains diront pillent) les conventions ou les concepts propres à celle-ci et qu'en parallèle une frange d'écrivains étiquetés "SF" tentent de se débarrasser de cet encombrant label qui les empêche visiblement de recueillir le succès commercial et critique auxquels ils estiment avoir droit (on pensera à des gens comme Bradbury, Ballard ou Vonnegut). La solution de Brigg (un professeur d'anglais), développée dans cet ouvrage est de créer ex-nihilo un nouveau genre qu'il nomme le Span (traduisible en français par "empan" ou la portée d'un pont, l'image étant complètement pertinente) et qui se situe "entre" la SF et le mainstream en empruntant à la première sa vision scientifique du monde et à une partie du second un ensemble de techniques de distanciation (je schématise bien évidemment).
L'ouvrage de Brigg se divise donc en six chapitres de taille très variable (de moins de dix à plus de soixante-dix pages). Le premier définit donc ce nouveau genre qu'il se propose de déterminer, un genre bâti sur deux piliers : l'utilisation techniques narratives sophistiquées (presque postmodernistes) et la science comme base de perception du monde. Les deux chapitres suivants explorent justement ces deux approches par le biais de deux auteurs représentatifs de chacun de ces points : Doris Lessing pour le premier et Thomas Pynchon pour le second. Le quatrième (le plus long) recense les autres auteurs et oeuvres candidats à l'entrée dans le Span côté mainstream (de Gordimer à McElroy en passant par Crichton, Vonnegut et DeLillo) alors que le cinquième fait de même mais côté SF (une liste plus courte allant de Priest à Russ via Lem). Une courte conclusion récapitule la démonstration de l'auteur et précède les notes, une bibliographie et un index.
Je dois avouer n'avoir pas été vraiment convaincu par la proposition de Brigg. Même si pour s'en défendre, il la cite ironiquement en exergue de son cinquième chapitre, son principe ressemble beaucoup à la vieille antienne "Si c'est bon, ce n'est pas de la SF" dans la mesure ou l'excellence littéraire est en filigrane l'une des caractéristiques des oeuvres que l'auteur place dans le Span. Cela lui permet d'ailleurs de confisquer à son profit la frange la plus "acceptable" des auteurs de Science Fiction (Le Guin, Lem, PKD, Delany, Ballard, Russ) mais ne résout pas vraiment la problématique de la détermination de critères d'inclusion (ou d'exclusion) ce qui laisse son ensemble de textes plutôt flou et d'une profondeur limitée. En effet, malgré le fait que l'auteur évoque une croissance "exponentielle" de son genre, le nombre d'exemples fournis dépasse péniblement la vingtaine.
Du coup, on peut en déduire que ce Span n'est au final que la simple partie de la SF un tant soit peu ambitieuse sur le plan littéraire (avec un prix Nobel dans le lot), ce qui ouvre la voie à une division du genre sur des critères stylistiques purement subjectifs avec le Span au sommet, la SF "normale" au milieu et (si l'on pousse la logique de l'auteur à son terme) la "Sci-Fi" tout en bas. Une telle classification "au mérite" est la seule à pouvoir expliquer pourquoi Brigg met The Alteration de Amis dans le Span (alors qu'il en exclut Pavane de Roberts) alors que ce texte, tel qu'il est présenté par l'auteur, est clairement un ouvrage de pure SF, ce qui n'est pas le cas de certains autres exemples dont l'adhésion aux critères de Brigg semble parfois, au vu des informations fournies, parfois douteuse même si l'enthousiasme de l'auteur est indéniable au point d'inclure des romans dont la contenu SF (voire même simplement scientifique) semble vraiment négligeable. Au final, une tentative d'inventer une über-SF sur des bases peu convaincantes car trop subjectives qui aura visiblement sombré sans laisser de traces.
Note GHOR : 1 étoile
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07/07/2013
_"A better country"_
"A better country" : The worlds of religious Fantasy and Science Fiction : Martha C. SAMMONS : Greenwood Press (série "Contributions to the study of SF & F" #32) : 1988 : ISBN-10 0-313-25746-9 : 168 pages (y compris index et bibliographie) : semble avoir coûté 35 USD pour un HC sans jaquette.
Au risque d'être partial et lapidaire, cet ouvrage m'est littéralement "tombé des mains" et n'a donc été que parcouru en diagonale. Ecrit par une spécialiste de C. S. Lewis et Tolkien et membre de cercles critiques chrétiens, ce livre est une analyse de la SFF "religieuse". Il est assez révélateur que le terme de "religieux" semble vouloir signifier pour l'auteur "chrétien" (du genre anglo-saxon, mais pas catholique) à l'exclusion de toute autre religion. Le reste est à l'avenant avec une concentration sur un nombre minime d'auteurs (on mange du Tolkien et du Lewis à touttes les pages avec seulement un peu de Chesterton, L'Engle ou Lawhead) et des analyses (comme celle de Cordwainer Smith pages 127 & 128) dont on se demande quel texte a bien pu lire l'auteur.
Sans forcément faire d'anticléricalisme basique, un ouvrage qui se termine par la phrase suivante : "The similarity between fantasy and the Gospels, perhaps more than any other, gives this genre its legitimacy and true purpose." représente simplement une vision des choses qui m'est totalement étrangère et pour laquelle je n'ai guère de temps.
Nothe GHOR : 0 étoile (mais ne concerne que moi et peut dépendre de votre inclination religieuse)
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01/07/2013
_Science-Fiction et psychanalyse_
Science-Fiction et psychanalyse : L'imaginaire social de la SF : Marcel THAON & Gérard KLEIN & Jacques GOIMARD & Tobie NATHAN & Ednita BARNABEU : 1986 : Dunod (collection "Inconscient & Culture") : ISBN-10 2-04-016475-8 : vi+243 pages (y compris index) : coûtait quelques dizaines de Francs pour un tp non illustré trouvable d'occasion.
Publié par un éditeur universitaire et paru dans une collection de titres consacrés à la psychanalyse, cet ouvrage n'a pas forcément bénéficié d'une grande visibilité dans le milieu de la SF. Pourtant, les auteurs mentionnés sur la couverture ainsi que le dessin de Mezières l'ancrent nettement dans le champ des réflexions sur le genre. La SF a en effet parfois intéressé les "psys" de tous bords, soit comme objet d'étude où l'imagination et/ou la fantasme prend une part importante ou comme vivier de cas cliniques tant chez les auteurs que chez les lecteurs. On se souviendra par exemple du fameux texte The Jet-propelled Couch (aisément disponible dans The Fifty Minute Hour) de Lidner qui met en scène un écrivain de SF qui croit vraiment aux mondes qu'il décrit (une anecdote à la base de la BD Souvenirs de l'empire de l'atome).
L'ouvrage rassemble sept essais de taille très variable et inédits en VF. Le premier (Thaon) est une très courte introduction centrée sur la problématique posée par le nom même de Science-Fiction. Il est suivi par un autre texte d'une trentaine de pages du même auteur qui nous conte l'histoire du genre sous l'angle psychanalytique. Trames et moirés est le plus long texte de l'ouvrage (une centaine de pages), il s'agit d'un essai de Klein qui a été récemment réédité (et complété) aux éditions du Somnium et qui est l'extension d'un article de 1967, son sujet en est le concept des "Subjectivités Collectives". On trouve ensuite Goimard sur le cinéma de SF puis deux études consacrées à des auteurs précis (Nathan sur Van Vogt, Thaon sur PKD). L'ouvrage se termine par la traduction d'un court article général de Bernabeu qui date de 1957. Une liste de références bibliographiques est fournie mais il n'y a pas d'index.
Tout d'abord, on notera l'extrême faiblesse de la qualité "technique" du livre : couverture fragile, reliure faiblarde, nombreux changements de taille de police sans raison apparente, lignes manquantes ou lignes dupliquées, absence d'index. De la part d'un éditeur aussi réputé, tout cela fait peu sérieux. une fois ces critiques sur la forme faites, le fond n'est pas beaucoup plus convaincant. L'essai de Klein, pièce maîtresse de l'ouvrage, peine à convaincre de l'intérêt de ses "SC" (on se croirait chez Banks). Outre la modestie habituelle de l'auteur, le texte tourne plutôt à vide en se regardant parfois écrire et ne commence à évoquer la SF (et encore presque uniquement avec Lovecraft) qu'à partir d'une cinquantaine de pages. Alors que c'est normalement l'une des forces de Klein, l'analyse sociale promise dans le sous-titre de l'ouvrage n'est ici que peu apparente et utilisée.
Le reste des articles est soit de facture honnête (Thaon avec une histoire de la SF d'un classicisme impressionnant pour l'époque et une réflexion sur PKD qui mériterait visiblement plus d'espace, Nathan sur Van Vogt qui souffre du même défaut), soit sans aucun intérêt (Goimard peu inspiré par le cinéma et Barnabeu qui répète joyeusement tous les clichés sur la SF et ses lecteurs). Le fait que la plupart des textes sont visiblement bâtis sur un principe de "sandwich" similaire (une couche de théorie psychanalytique puis une couche de SF sans grand rapport entre elles et on recommence...) permet certes à l'amateur de l'une ou l'autre des disciplines de sauter des pans entiers de texte mais ne rend pas la lecture très intéressante ni le discours très argumenté. Au final le tout forme un ensemble largement dispensable.
Note GHOR : 1 étoile
12:23 | 12:23 | Ouvrages thématiques | Ouvrages thématiques | Lien permanent | Lien permanent | Commentaires (0) | Commentaires (0) | Tags : français, 1 étoile | Tags : français, 1 étoile
23/06/2013
_The sex is out of this world_
The sex is out of this world : Essays on the carnal side of science fiction : Sherry GINN & Michael G. CORNELIUS (editors) : 2012 : McFarland (série Critical explorations in science fiction and fantasy #36) : ISBN-13 978-0-7864-6685-6 : x+249 pages (y compris index et bibliographies par chapitre) : coûte 40 USD pour un TP non illustré, disponible chez l'éditeur (là : http://www.mcfarlandpub.com/book-2.php?id=978-0-7864-6685-6).
Les rapports entre sexe et science-fiction ont toujours été un sujet de fascination. En effet, pour un genre d'apparence aussi sexué que la SF (on se souviendra de nombre de couvertures suggestives, de séries "sulfureuses" ou d'auteurs choquants), celui-ci se révèle en pratique bien timide et semble traiter la sexualité comme une pulsion plutôt secondaire. C'est donc pour étudier ces relations que Ginn (à qui l'on doit un ouvrage sur Joss Whedon) et Cornelius (un spécialiste de la littérature populaire) ont entrepris (presque trente ans après les ouvrages précurseurs de Palumbo) de réaliser ce recueil d'essais publié chez le prolifique éditeur académique McFarland.
Après une introduction de Cornelius, l'ouvrage rassemble une grosse douzaine d'essais allant d'une dizaine à une trentaine de pages. Ceux-ci sont rassemblés en deux parties à peu près égales : la première Alien Sex, est consacré à la sexualité avec des "autres" (qu'ils soient extraterrestres, professionnels ou Oedipiens). On y trouvera un essai de portée générale sur la miscégénation, deux essais sur Butler, deux sur des séries télévisées et un sur les nouvelles fantastiques de Primo Levi. La seconde partie aborde la sexualité transformée par la technologie avec des essais sur Ballard, les primates (pensez à La planète des singes), l'homo-érotisme via la science dans les romans pour garçons, deux textes sur H. G. Wells et l'évolution de la paternité. Un essai final de Ginn brosse un portrait général du sujet et est suivi par une conclusion qui est en fait une introduction qui précise le projet du livre. Un index clôture l'ouvrage et l'on notera que les éléments bibliographiques sont donnés à la fin de chaque essai (ainsi que d'ailleurs les notes).
Un rapide survol de la liste des contributeurs et de leurs "qualifications" en matière de SF, permet tout de suite de comprendre la raison de l'un des défauts majeurs de l'ouvrage. En effet, on s'aperçoit rapidement que la plupart de ceux-ci sont loin d'être des spécialistes, voire de simples connaisseurs, du genre. On trouvera plutôt en effet au sommaire des experts ou enseignants en "media studies" ou "gender studies". Du coup, cela explique probablement la présence de deux essais dont le rapport avec la SF est négligeable comme celui sur Levi, voire carrément nul comme justement celui de l'un des editors, centré sur les romans d'espionnage pour garçons, dont l'inclusion dans ce recueil reste pour moi un mystère (une sorte d'auto publication ?).
Hormis ces quelques hors sujet, l'ensemble de l'ouvrage est plutôt terne et nécessite (comme c'est de plus en plus le cas avec les ouvrages de référence récents) de beaucoup regarder la télévision et de posséder à fond certains univers comme Star Trek ou ceux de Wheldon (Firefly & Dollhouse), ce qui permet sans doute d'apprécier l'analyse statistique chiffrée de Porter où l'on apprend par exemple que 1.19 fois par épisode de Firefly on est en présence d'une tenue osée (contre 2.00 fois -notez la précision- dans Dollhouse). En fait, on ne sauvera pas grand chose de l'ensemble, si ce ne sont les articles sur Ballard et Wells et la conclusion de Ginn qui montre ce que l'ouvrage aurait pu être : un survol compétent des liens entre SF et sexualité au lieu d'un assemblage sans grand intérêt de textes sur des points de détail ou n'appartenant pas au genre.
Note GHOR : 1 étoile
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15/06/2013
_Here be dragons_
Here be dragons : Exploring Fantasy maps and settings : Stefan EKMAN : 2013 : Wesleyan University Press : ISBN-13 978-0-8195-7323-0 : viii+284 pages (y compris index et bibliographie) : coûte 27.95 USD pour un tp disponible chez l'éditeur (là : http://www.wesleyan.edu/wespress/).
Un des nombreux lieux communs relatifs à la Fantasy est que tout ouvrage appartenant au genre est forcément muni d'une ou plusieurs cartes. C'est en voulant vérifier cette idée reçue que l'auteur, un universitaire américano-suédois et participant régulier à l'IFA, a décidé d'écrire cet ouvrage, et ce d'autant plus que ses recherches préliminaires ont montré que ce sujet n'avait jamais été véritablement abordé en profondeur. Comme ne l'avaient pas été les liens entre les éléments de géographie "physique" (l'environnement, le relief, la végétation ou le climat) et le récit qui sont ici abordés par l'auteur dans ce volume édité par une presse universitaire américaine à qui l'on doit un certains nombre de titres liés au genre (ouvrages de référence ou de fiction).
Après une assez longue introduction qui précise les contours du projet (y compris une tentative de définition de la Fantasy), la terminologie et la méthodologie employées, l'ouvrage comporte quatre chapitres principaux. Ekman aborde tout d'abord le sujet des cartes dans les livres (romans ou recueils) de Fantasy par le biais d'une étude statistique pointue qui porte sur divers paramètres (présence ou pas d'une carte, type de représentation, symboles utilisés, éléments présents...). Il se concentre ensuite sur la carte de la Terre du Milieu pour en tirer certains enseignements sur la stratégie narrative de Tolkien. Le chapitre suivant est consacré aux frontières et bordures chez divers auteurs (de Gaiman à Pratchett), ainsi qu'au concept de "Polder" (un terme apparu chez Kaveney puis Clute). La division entre nature et culture est ensuite étudiée dans le chapitre suivant. Ceci est accompli qui l'aborde par l'étude de plusieurs villes célèbres du genre : Minas Tirith (Tolkien), Newford (De Lint), New Crobuzon (Miéville) et Ombria (McKillip). Le dernier chapitre se penche sur une des caractéristiques propres aux mondes de Fantasy, à savoir le fait que leur état est souvent directement lié à celui de leur souverain. Il est illustré par des exemples tirés de Tolkien, Jordan et Donaldson. L'ouvrage se termine par une courte conclusion qui plaide pour plus d'études "topofocales" et est complété par divers appendices : la méthodologie exacte et complète utilisée dans le chapitre 2, une bibliographie primaire et secondaire et un index.
Il faut ici saluer la performance de Ekman, qui, avec cet ouvrage, réussit à intéresser un lecteur comme moi dont la Fantasy n'est pas la principale lecture. Le projet de l'auteur est en effet novateur et mené de façon très compétente et de plus agréable à lire. Le choix de ne traiter qu'un petit nombre d'oeuvres et d'auteurs (le tout étant quand même délibérément dominé par JRRT) a paradoxalement l'effet de renforcer les thèses de l'auteur en permettant un approfondissement qui aurait été impossible s'il s'était dispersé sur l'ensemble des textes composant son échantillon (200 titres sur 4300). Les résultats de son analyse sont à la fois conformes à l'expérience immédiate (par exemple on peut constater que les royaumes maléfiques se ressemblent tous) mais lui permettent, de par l'exploration de leurs légères différences, d'en tirer des constations originales et étayées.
La publication de cet ouvrage peut aussi être vue comme une frémissement manifestant l'émergence d'un discours théorique propre à la Fantasy et non, comme actuellement, un dérivé ou un sous-produit de celui développé pour la Science Fiction. Du coup, l'auteur "bute" un peu sur le manque d'outils spécifiques à la Fantasy, y compris au niveau du vocabulaire de base. Ceci peut expliquer les emprunts (que je trouve un peu envahissants) de termes inventés par Clute et ses acolytes dans leur Encyclopedia of Fantasy (voir : http://ghor.hautetfort.com/archive/2009/11/18/the-encyclo...), une terminologie que l'on peut estimer ne pas être encore complètement stabilisée même si elle est parfois reprise (par exemple par Mendelsohn). En tout cas, ce livre est une réussite (même s'il on aurait aimé avoir plus d'exemples de cartes) dont la démarche topofocale pourrait aisément être aussi appliquée à la SF (après tout, il y a parfois des cartes dans les ouvrages du genre).
Note GHOR : 3 étoiles
11:40 | 11:40 | Ouvrages thématiques | Ouvrages thématiques | Lien permanent | Lien permanent | Commentaires (0) | Commentaires (0) | Tags : anglais, fantasy, 3 étoiles | Tags : anglais, fantasy, 3 étoiles