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05/11/2018

_Adam Roberts : Critical Essays_

Adam Roberts : Critical Essays : Christos CALLOW Jr. & Anna MCFARLANE : 2016 : Gylphi (série "Contemporary Writers: Critical Essays" #4) : ISBN-13 978-1-78024-042-8 (la fiche ISFDB du titre) : 237 pages (y compris index) : coûtait 17.99 GBP (ou 29.99 USD) pour un tp non illustré qui existe aussi en e-book sans doute disponible chez l'éditeur.

Roberts,anglais,2 étoiles

Publié par Gylphi, un éditeur britannique qui possède dans son catalogue une petite sélection d'ouvrages liés au genre (on pensera à celui-là par exemple), cet ouvrage est un recueil d'essais originaux consacrés à Adam Roberts. Cet auteur britannique est un peu un mystère au sein du genre. En effet, il est à la fois un auteur de romans plutôt ambitieux dont l'originalité est d'être en dialogue permanent avec les genres (SF mais aussi Fantasy ou Policier), un universitaire pur et dur qui a écrit un certain nombre d'ouvrages de référence dans lesquels il exprime des opinions tranchées (particulièrement dans cette hsitoire de la SF), un critique à la plume parfois acérée (ce recueil en étant la preuve) mais aussi un écrivain de parodies opportunistes (The Soddit, The Da Vinci Cod) sur lesquelles il vaut mieux fermer les yeux.

Roberts,anglais,2 étoiles

Commençant par une introduction embarrassée (ou pas) de Roberts, l'ouvrage comporte une dizaine d'essais de taille variable sous la plume d'intervenants britanniques (souvent membres de la BSFA). Après un chapitre vaguement biographique, ils sont organisés en quatre parties aux titres qui donnent l'impression d'avoir été générés aléatoirement. On y trouve un peu de tout, des études sur un seul roman (By Light Alone, Yellow Blue Tibia ou Jack Glass), sur les personnages Robertsiens, sur les inspirations de l'auteur et sur son dialogue avec les genres. On trouve aussi certaines choses inclassables qu'un esprit chagrin qualifierait de "blagues potaches" ou de "foutaises post-modernistes". Un index clôture cet ouvrage qui ne propose d'ailleurs pas de bibliographie.

Roberts,anglais,2 étoiles

La plupart des essais sont de bonne tenue, surtout ceux écrits par des connaisseurs du genre (Mendlesohn, Butler, Raven, Morgan...). D'une façon générale, ceux qui sont consacrés à un thème plutôt qu'à un seul roman (les nouvelles de Roberts font partie des grandes absentes de cet ouvrage, ce qui est un peu dommage même si elles sont peu nombreuses) permettent d'avoir une meilleure perspective et sont (à mon avis) plus les intéressants. On pourra regretter que certains romans (dont le très Banksien Stone) ne soient presque pas abordés. Un guide de lecture complet aurait sans doute été un plus indéniable (après tout, il n'y a pas tant de livres de Roberts que cela) et aurait sans doute facilité l'accès à cet écrivain.

Roberts,anglais,2 étoiles

Il reste quand même une minorité de textes (ceux de la dernière partie) qui sont sans doute des brillantes constructions ludiques et post-modernistes mais dont l'intérêt m'échappe complètement. On peut penser que les auteurs ont voulu "faire" du Roberts plutôt que d'écrire sur lui. On pourra aussi trouver regrettable que les positions de Roberts sur la SF, largement exprimées dans divers ouvrages, ne fassent pas l'objet d'une analyse ou d'une discussion critique. Au final, c'est un ouvrage qui ressemble assez à son sujet, souvent brillant et captivant mais aussi parfois assez énervant. C'est en tout cas une bonne base pour appréhender un auteur aux multiples facettes et plutôt prolixe mais qui devra sans doute freiner son attrait pour les jeux référentiels s'il ne veut pas risquer de s'aliéner une partie de ses lecteurs.

Roberts,anglais,2 étoiles

Note GHOR : 2 étoiles

30/10/2018

_Unearthly Visions_

Unearthly Visions : Approaches to Science Fiction and Fantasy Art : Gary WESTFAHL & George SLUSSER & Kathleen CHURCH PLUMMER : 2002 : Grenwood Press (série "Contributions to the Study of Science Fiction and Fantasy" #98) : ISBN-13 0-313-31705-4 (la fiche ISFDB du titre) : vi+166 pages (y compris index et bibliographie) : semble coûter une grosse cinquantaine d'Euros pour un hc non illustré et être disponible en neuf (en POD ?) chez divers vendeurs en ligne.

anglais,1 étoile

Un des derniers titres de la série d'ouvrages de référence de Greenwood, ce livre est un recueil d'essais originaux ayant pour objectif d'examiner l'art SF&F dans son contexte le plus large (je paraphrase ici l'introduction de Slusser). Il comprend donc une douzaine d'essais de taille variable (de six à vingt pages) séparés en deux parties, la première sur l'art "SF" et la seconde sur l'art "Fantasy", le tout rassemblé par les vieux routiers que sont Westfahl et Slusser, rejoints par Plummer, une "novice" qui n'a pas laissé d'autres traces dans la littérature sur le genre.

anglais,1 étoile

Après une intéressante introduction de Slusser, on trouve donc successivement les textes suivants :

- Artists in Wonderland: Toward a True History of Science Fiction Art de Gary Westfahl qui propose une histoire de l'illustration SF en six époques, un exercice sans doute perfectible et/ou critiquable (et surtout trop court) mais qui donne une base satisfaisante pour approcher le sujet.

- The Northrop Continuum: Science Fiction Illustration and the Flying Wing Aircraft par Howard V. Hendrix, qui revient de façon séduisante sur la récurrence de l'image de l'aile volante dans la SF au travers de la célèbre nouvelle de Gibson.

- Less is More: Empty Space, Invisibility, and Modern Design est le texte d'une des co-editors de l'ouvrage une intervenante sur les arts décoratifs et les intérieurs (sérieux, c'est ce qui est mentionné dans sa courte biographie à la fin du livre). C'est un long essai sur la transparence dans le mobilier qui n'offre au final (et malgré quelques tentatives tirées par les cheveux) strictement aucun rapport ni avec le genre ni avec l'illustration de SFF.

- "Getting It Right": A Reflection on Titans and Technology est un texte de Gregory Benford (un habitué de ces recueils) qui évoque Chesley Bonestell en recyclant un des ses articles de 1970.

anglais,1 étoile

- The Vision of Space: The Artist's View par Samuel H. Vasbinder (un professeur d'art) traite de la façon de représenter l'espace d'un façon assez absconse.

- Shapes From the Edges of Time: The Science Fiction Artwork of Richard M. Powers par Hampton et McKay est une étude assez détaillée de la carrière de Powers au sein du genre. Plutôt lisible mais certaines interprétations partent à mon sens un peu loin.

- Notes on the Geography of Bad--and Good--Fantasy Art de John Clute est une nième resucée de son système de classification de la Fantasy (tel que déployé dans son The Encyclopedia of Fantasy).

- Archaeological Fieldwork in the Paper Tiger Stacks Report #43: A Short Happy History of Fantasy Art de John Grant doit être une pièce sensément humoristique (du moins je suppose) composée de plusieurs saynètes qui a sans doute plus sa place dans un fanzine que dans un ouvrage académique (qui de surcroît n'est pas donné).

anglais,1 étoile

- Wisdom and Clemency: The Collaborations of Margaret Wise Brown and Clement Hurd de Lundquist et Westfahl est un long article sur une série de livres pour enfants dont la présence dans ce recueil est sans doute due au fait qu'il soit cosigné par Westfahl.

- "And What Happened After": How J.R.R. Tolkien Visualized, and Other Artists Re-Visualized, the Denizens of Middle-Earth de Beatrix Karthaus-Hunt est une étude assez bien menée sur les différentes représentations des créatures imaginées par Tolkien.

- Conan the Oxymoron: The Civilized Savage of Robert E. Howard and Frank Frazetta par David Hinckley nous explique de façon pertinente pourquoi Frazetta est l'illustrateur "naturel" de Conan. Un discours séduisant.

Le livre se termine par une bibliographie secondaire (de "pictorials" et d'ouvrages théoriques) et un index.

anglais,1 étoile

Au final, ce recueil, pourtant rassemblé par des pointures, est une déception. Les quelques textes valables étant noyés dans des choses sans grand intérêt pour l'étude du genre ou des tentatives malheureuse de recyclage. De plus, le choix d'avoir un livre entièrement consacré à l'illustration sans publier UNE SEULE image est une option particulièrement casse-gueule. A moins d'avoir une mémoire photographique et encyclopédique, la lecture de ce recueil doit obligatoirement se faire devant une bibliothèque très bien fournie ou en étant connecté sur un quelconque site qui permet de "voir" ce dont parlent les auteurs.

anglais,1 étoile

Note GHOR : 1 étoile

18/10/2018

_The cybernetic imagination in science fiction_

The cybernetic imagination in science fiction : Patricia S. WARRICK : 1980 (pour la première édition) : The MIT Press : ISBN-13 978-0-262-73061-7 (la fiche ISFDB du titre) : xvii+282 pages (y compris index et bibliographie) : coûte une grosse dizaine d'Euros pour un tp non illustré, mon exemplaire étant disponible en neuf en POD chez divers vendeurs en ligne.

anglais,2 étoiles

Même si cet ouvrage est une parution récente (son ISBN-13 le plaçant logiquement après 2007), sa première publication date en fait de 1980 et sa date d'écriture doit se situer aux alentours de 1979 d'après divers indices internes. Patricia Warrick, à qui l'on doit un certain nombre d'anthologies (du type XXX through Science Fiction, voir sa bibliographie) et d'essais, s'est donc intéressée au traitement de la cybernétique (qu'elle définit comme regroupant ordinateurs et robots) dans la science fiction. A cette époque, c'est à dire juste avant l'arrivée des PC, ce thème était plutôt porteur et, de part sa relative nouveauté, suffisamment peu étendu (l'auteur recense 225 nouvelles et romans entre 1930 et 1977) pour être étudié dans sa globalité. A noter qu'une partie de l'ouvrage reprend des articles précédemment parus dans des revues ou d'autres ouvrages de référence.

anglais,2 étoiles

L'ouvrage commence de façon classique avec plusieurs chapitres historiques ou thématiques, du Golem à UNIVAC, de Shelley à Asimov (qui à droit à un long passage repris d'un essai contenu dans le Isaac Asimov d'Olander et Greenberg). Puis, comme le but de Warrick est de traiter "d'un seul coup" l'ensemble des textes comprenant sa sélection et qu'elle a découvert une méthode infaillible pour organiser tout cela, les textes sont donc divisés en trois groupes (formant autant de chapitres) suivant qu'ils décrivent des "systèmes isolés" (des textes où figure un novum à la Suvin sans autre réflexion), des "systèmes clos" (des oeuvres dystopiques et/ou pessimistes) ou des "systèmes ouverts" (des œuvres plutôt optimistes et tournées vers l'expansion). Au sein de chaque partie, les textes abordés sont ensuite ventilés en un certain nombre de catégories (par exemple le robot comme métaphore ou les sociétés totalitaires). On trouve en suite un chapitre consacré à PKD (qui correspond probablement à un article parus initialement dans Extrapolation) et une conclusion qui précède un index et une bibliographie primaire et secondaire.

anglais,2 étoiles

A la lecture, il semble bien que le projet de Warrick s'affiche comme un peu trop ambitieux quand on le compare au résultat obtenu. Non pas que l'ensemble soit désagréable mais tout cela donne une impression de déjà-lu (ce qui est d'autant plus vrai pour les parties "recyclées"). La méthodologie novatrice employée par Warrick n'est au final qu'une taxonomie différente (et encore) mais la forme de l'ouvrage reste identique à tant d'autres avec les mêmes exemples (un coup d'Asimov, un coup de Binder, un coup de Foster) et les mêmes conclusions (l'humain se transformant en robot et vice-versa). Même si l'auteur évoque parfois des textes peu fréquents (The Genesis Machine ou Dosadi), le tout donne une impression de réchauffé, impression qu'il faut sans doute nuancer au vu de la date de composition de l'ouvrage.

anglais,2 étoiles

De plus, l'économie de l'ensemble, partiellement à base d'éléments déjà publiés, se fait parfois sentir d'une façon un peu trop évidente. En particulier, la partie sur Dick (une des spécialités de l'auteur) arrive en fin d'ouvrage un peu comme un cheveu sur la soupe, hors de la structure logique du livre, ce qui est aussi le cas de celle sur Asimov, placée elle au début. A cela s'ajoute une certaine tendance au "wikipédisme" ("wikipédanterie" ?) avant la lettre où Warrick fait beaucoup trop de digressions pour nous expliquer des tas de choses (l'informatique, la biologie, la sociologie, la théorie littéraire...) sans que cela n'apporte grand chose de plus à sa démonstration. Au final, l'ensemble forme un tout assez quelconque qu'il faut sans douter replacer dans son contexte (il s'agit d'un des premiers ouvrages de référence thématiques) pour l'apprécier pleinement.

anglais,2 étoiles

Note GHOR : 2 étoiles

05/10/2018

_The Space Odysseys of Arthur C. Clarke_

The Space Odysseys of Arthur C. Clarke : George Edgar SLUSSER : 2006 (mai 2010 pour mon exemplaire, mais la première édition chez Borgo date de 1978) : Wildside Press : ISBN-10 0-893-70212-9 (la fiche ISFDB du titre) : 64 pages (pas d'index ni de bibliographie) : coûte 14.95 USD pour un tp non illustré disponible chez Wildside Press sous forme de POD.

The space oysseys of A C Clarke.jpg

Au risque d'être plutôt lapidaire, cet ouvrage est plutôt un long article publié isolément (un peu comme une novella) qu'un véritable ouvrage sur Clarke (il en existe d'ailleurs un certain nombre, le dernier étant celui de Westfahl). Dans ce long article, Slusser développe donc la théorie que toutes les oeuvres de Clarke sont basées sur le canevas de L'Odyssée (celle d'Homère ou ses variations par les poètes britanniques) et se finissent toujours par un retour soit physiquement sur la planète Terre, soit métaphoriquement vers des valeurs "victoriennes". Le livre est divisé en deux parties, la première exposant cette théorie et la seconde la mettant à l'épreuve de six romans tirés au hasard (sic). A noter l'absence (hélas habituelle pour cette collection) d'index ou de bibliographie.

clarke,anglais,1 étoile

J'avoue ne pas avoir apprécié du tout cet ouvrage. Tout d'abord, le discours de Slusser m'a semblé brouillon (il est de plus desservi par une mise en page particulièrement monolithique) et la démonstration elle-même de la récurrence de la structure de L'Odyssée dans les oeuvres de Clarke (c'est à dire toute la deuxième partie) n'est absolument pas convaincante. Malgré des observations pertinentes (les différences entre SF US et SF GB) et même si certains points soulignés par Slusser mériteraient sans doute d'être approfondis (par exemple les valeurs de Clarke comme aristocratiques), l'ensemble est mal exécuté et trop léger pour emporter mon adhésion. J'ajoute que, mon appréciation négative de l'ouvrage peut aussi être due au fait que cela fait des décennies que je n'ai pas (re)lu un texte de Clarke.

clarke,anglais,1 étoile

Note GHOR : 1 étoile (et encore)

30/09/2018

_The Astounding Illustrated History of Science Fiction_

The Astounding Illustrated History of Science Fiction : Dave GOLDER & Jess NEVINS & Russ THORNE & Sarah DOBBS : 2017 : Flame Tree Publishing : ISBN-13 978-1-78664-527-2 (la fiche ISFDB du titre) : 191 pages (y compris index) : coûtait 20 GBP (ou 35 USD) pour un grand hc avec jaquette largement illustré en couleur, disponible (chez l'éditeur.

anglais,1 étoile

Publié par un éditeur britannique qui comporte quelques ouvrages relatifs au genre au sein de son vaste catalogue, ce livre est un de ces "coffee table books" qui fleurissent souvent à l'approche des fêtes. De par ses dimensions (format presque carré de 30cm X 30cm), son poids, sa qualité de fabrication (relié, jaquette, papier de qualité, illustrations couleur pleine page) et sa ratio texte/image très faible, il est en effet le cadeau idéal à offrir à un amateur de science fiction quand on n'a pas d'autre idée (de plus que le prix est acceptable au vu des prestations comparé à un "simple" roman de SF). 

anglais,1 étoile

Ecrit par quatre auteurs (à qui l'on doit en fait deux chapitres chacun, chapitres au styles d'ailleurs assez différent), il n'y pas grand chose à dire de la partie "texte" de l'ouvrage qui n'est que le glaçage du gâteau. En effet, la mise en page est très aérée (avec un interligne réglé sur "double" au moins) et le la partie écrite doit péniblement remplir une trentaine de pages d'un ouvrage maquetté normalement. C'est donc une histoire de la SF relativement classique, couvrant tous les types de SF (écrite et audiovisuelle) présentée en huit chapitres correspondant à autant d'époques suivant l'ordre chronologique, le tout avec un point de vue assez nettement britannique. Mary Shelley et son Frankenstein y sont par exemple donnés comme point de départ du genre suivant les théories d'Aldiss, un auteur qui a d'ailleurs droit à une élogieuse présentation. Les illustrations sont en fait le point fort de l'ouvrage, non pas qu'elles soient très originales puisqu'il s'agit surtout d'images de films (notamment beaucoup d'affiches) malgré pas mal de dessins originaux (il me semble, ceux-ci n'étant pas crédités) plutôt génériques (et pas forcément très "raccords" avec le texte qu'ils illustrent) , mais parce que la qualité de reproduction est excellente.

anglais,1 étoile

Bien évidemment, un chipoteur dans mon genre pourra trouver que la partie consacrée à la proto-sf est trop importante (le livre organisé chronologiquement atteint l'année 1926 à la page 64 sur 188), une constante dans ce type d'ouvrage (un problème de droits ?). On pourra aussi relever des erreurs factuelles (des porte-avions durant la 1GM), une mise en page parfois prise en défaut, des illustrations peu ou pas légendés et un certain laisser-aller dans la rigueur du choix des illustrations avec des erreurs de datation de débutant comme cette une édition Pan de Childhood's end de la fin des années 70 (à vue de nez d'après le logo, voir l'image plus bas) pourtant présentée comme datant des années 40-50 (ce qui est le cas de celle-ci-dessous).

anglais,1 étoile

Comme souvent, le résultat est assez décevant car ce type d'ouvrage n'apportera strictement rien au connaisseur (si ce n'est un certain énervement), mais sans doute n'est-il pas vraiment le public visé. A cela s'ajoute le fait que conter l'histoire du genre au travers de tous les médias (magazines, livres, films, séries, comics, art...) en débordant aussi sur la Fantasy et l'Horreur en trente pages est sans doute un exploit impossible, ce que confirme ce livre.

anglais,1 étoile

Note GHOR : 1 étoile