Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

05/02/2010

_The history of science fiction_ (Miller)

The history of science fiction : Ron MILLER : 2001 : Franklin Watts : ISBN-10 0-531-13979-4 : 144 pages : coûte 14 USD pour un TP au format carré illustré en N&B, doit pouvoir se trouver en neuf.

The history of science fiction.jpg

Cet ouvrage est écrit par Ron Miller, un auteur/illustrateur dans le domaine de la SF et de l'espace (voir son site : http://www.black-cat-studios.com/). Il s'agit d'un de ces ouvrages généraux qui ont pour objectif d'initier le lecteur néophyte ou simplement intéressé à la SF. Etant publié par un éditeur spécialisé dans les publications (qui fait partie du groupe Scholastic) destinés à la jeunesse, la cible visée ici est claire et le livre adapté à la tranche d'âge (je dirais à la louche les 12-15 ans) de par son côté aéré et la structure du discours.

Dome (Berkley 1987).jpg

L'ouvrage est divisé en huit chapitres d'inégale longueur. Le premier se plie à l'exercice imposé de la définition du genre, les trois suivants retracent l'histoire de la SF (qui commence à Lucien pour l'auteur). Le cinquième traite des grands thèmes abordés par la science fiction (des empires galactiques aux extraterrestres). Il est suivi par un traitement du genre à l'écran (Cinéma et TV) et de l'illustration. Le dernier chapitre concerne l'interaction entre la SF et la "vraie vie" (côté prophétique du genre, activités sociales en son sein). Plusieurs annexes terminent l'ouvrage : la liste des lauréats des Hugos et des Nebulas (romans seulement), une bibliographie d'ouvrages sur la SF (y compris des sites Internet) et de titres importants et un index. Le tout est largement illustré de pleines pages en N&B (couvertures, illustrations, photos de films).

The black sun (Tor 1998).jpg

Etant nettement trop vieux pour ce livre, mon regard n'est pas forcément le plus adapté. Il s'agit en tout cas d'un bon ouvrage d'initiation relativement exempt d'erreurs (on pourra toujours chipoter sur l'appartenance d'un livre de 1954 à la New Wave). Les points essentiels de l'histoire du genre sont présents et l'analyse de Miller extrêmement classique (précurseurs->proto->SF Gernsbackienne->âge d'or Campbellien->récession->New Wave->Cyberpunk) et passe bien par les points de passage obligés de toute histoire du genre (l'affaire Cartmill, le féminisme, Gibson...).

ASF 2002-02.jpg

Au final un livre aéré, sympathique qui remplit parfaitement sa mission de fournir à de jeunes lecteurs un aperçu du genre dans son histoire et son étendue. Du coup, et sans vouloir enlever de ses qualités, cet ouvrage est strictement inutile à l'amateur un tant soit peu avisé.

Firebrands.jpg

Note GHOR : 1 étoile

01/02/2010

_Histoire de la science-fiction moderne 1911-1984_

Histoire de la science-fiction moderne 1911-1984 : Jacques SADOUL : 1984 : Robert Laffont (collection "Ailleurs & demain - essais") : ISBN-10 2-221-04464-9 : 513 pages (y compris bibliographie et index) : coûtait 110 FRF pour un TP à la couverture métallisée d'une fragilité conforme à sa légende.

Histoire de la science-fiction moderne (RL).jpg

Cet ouvrage est un des textes légendaires du petit domaine des études sur la SF en français. C'est un monument de permanence puisqu'il a subi plusieurs métamorphoses : une première version a été publiée en 1973 en un volume par Albin-Michel et couvrait la période 1911-1971; une deuxième version (1911-1975) sera éditée en 1975 par J'ai Lu (une collection dirigée par Sadoul) en format poche et divisée en deux tomes (un pour le domaine anglo-saxon, un pour le reste du monde); enfin le tout sera remanié, complété (1911-1984) et regroupé pour aboutir à ce volume qui clôturera l'épisodique collection des essais chez A&D. C'est aussi un monument d'ambition puisque celle de Sadoul est tout simplement de raconter l'histoire du genre de 1911 (parution de Ralph 124C41+) à 1984 (date d'écriture du livre) à la fois dans les pays anglo-saxons et en francophonie (les autres SF sont aussi abordées). A noter que cette édition ne comporte pas de cahiers photographiques contrairement à celle d'Albin-Michel.

Histoire de la science fiction moderne (AM).jpg

Le livre est découpé en deux parties très inégales correspondant à son découpage géographique. La première (presque 400 pages) concerne donc les USA et la GB, la seconde (une centaine de pages) traite du domaine francophone. Ces parties sont divisées en un certain nombre de chapitres correspondant à des périodes de l'histoire du genre telles que définies par Sadoul (globalement des grosses décennies suivant un canevas assez standard). Au sein de chaque chapitre on a une narration chronologique (et par magazine pour l'anglais) qui met surtout l'accent sur les oeuvres littéraires indépendamment de leur longueur et de le traduction ou non en VF. Quelques annexes complètent le livre : un panorama rapide (une dizaine de pages) des "autres SF" (allemande, italienne, latine, de l'Est), une bibliographie d'ouvrages de référence et un index (titres et noms propres).

Histoire de la science-fiction moderne T1 (JL).jpg

Il est généralement de bon ton de critiquer cette histoire de la SF pour divers motifs : goût de l'autopromotion et partialité de l'auteur qui "vend" sa collection et ses auteurs, erreurs de perspective historique, manque de fluidité de la narration qui n'est qu'une simple accumulation de résumés d'intrigues, oublis divers et erreurs factuelles. Il est vrai que ces reproches peuvent légitimement être faits à Sadoul comme par exemple la citation au sein d'une histoire globale du genre d'un certain nombre de novellisations médiocres dont le seul intérêt est d'avoir été publiées par J'ai Lu (et l'abondance de titres de cet éditeur en général), ces coquilles sur des titres de Van Vogt (The universe makerS) ou globalement un biais notable en faveur la SF qu'il apprécie.

The universe maker (Ace 1974).jpg

Mais ces reproches sont-ils réalistes ? Tout d'abord, peut-on vraiment écrire une histoire de la SF mondiale même en 500 pages en ne négligeant aucune oeuvre, aucun auteur important ou aucun courant ? Si cela était possible, peut-on le faire d'une façon impartiale ? Les rares qui on tenté l'expérience on tous été attaqués sur ces critères : Aldiss (Billion puis Trillion year spree) par la frange "dure" de la SF US, à contrario, Del Rey (The world of science fiction) l'a été par Aldiss et Priest, et plus récemment Roberts (The history of science fiction) sur la dimension religieuse. En gros, la mission n'est-elle pas tout simplement impossible ?

Le trou noir (JL 1980).jpg

Au final, il reste une histoire du genre érudite et passionnante malgré ses défauts certains, une oeuvre d'une ambition rarement égalée même chez les anglophones et un des textes francophone clés sur le genre. C'est aussi la seule tentative sérieuse d'une histoire de la SFF. En plus, c'est aussi un livre qui m'a personnellement beaucoup apporté et que je chéris particulièrement.

Histoire de la science-fiction moderne T2 (JL).jpg

Note GHOR : 3 étoiles

07/12/2009

_Les faiseurs d'univers : La science-fiction aujourd'hui_

Les faiseurs d'univers : La science-fiction aujourd'hui : Donald A. WOLLHEIM : 1973 : Robert Laffont (collection "Ailleurs & Demain - Essais") : pas d'ISBN : 204 pages (y compris index) : coûtait à l'époque 35 Francs pour un TP à la fameuse couverture métallisée peu solide (ici à dominante orange propre aux essais), se trouve facilement d'occase.

Les faiseurs d'univers.jpg

Partageant malheureusement presque son titre français avec un roman de Farmer, cet ouvrage en diffère par son titre original (The universe makers contre The maker of universes). Il s'agit en effet de la traduction d'un livre américain paru en 1971 sous la plume de Donald Wollheim. On ne présenta plus ce dernier, membre historique des Futurians, auteur de SF de seconde zone (sous pseudonymes comme David Grinnell -d'ailleurs en auto publication- sauf pour ses juveniles) et surtout directeur de collection important, tout d'abord chez Ace et ensuite fondant sa propre maison d'édition (DAW Books) à laquelle il donnera son nom.

Le faiseur d'univers (Lattès 1973).jpg

Traduit par Pierre Versins, ce livre est une sorte d'histoire personnelle de la SF (et un peu de la Fantasy) qui suit la vie de Wollheim et celle du genre (qui sont de toute façon mêlées). Il est constitué de vingt-sept chapitres assez courts (rarement plus de dix pages), qui traitent l'histoire  le genre dans un ordre à peu près chronologique et qui sont généralement basées sur l'étude d'une auteur en particulier (on y croise tout le gratin de l'âge d'or). Il y dessine en quelque sorte une histoire du futur commune dépeinte par la SF. Certains chapitres sont plutôt des digressions où DAW s'en prend à des cibles prévisibles vu son background : le livre de Amis New maps of hell, la New Wave, les traîtres à la cause (Vonnegut, Bradbury). Un index complet (titres et auteurs) clôt l'ouvrage.

The martian missile (Ace Double D-465).jpg

Il est clair que ce livre ne peut en aucune façon prétendre à l'objectivité. Largement consacré aux livres parus sous sa direction, bourré de jugements à l'emporte-pièce, de petits règlements de comptes entre amis (avec Pohl) ou entre collègues (avec les autres éditeurs), il est plus à la fois un manifeste contre les évolutions du genre de l'époque (essentiellement la New Wave et un pessimisme généralisé) et une célébration d'un certain type de SF qu'une histoire raisonnée de la science-fiction. Du coup, c'est plutôt amusant à lire si l'on connaît le contexte et si l'on prend le recul nécessaire (il faut aussi oublier un certain nombre d'affirmations factuelles erronées).

The artifact (DAW 1990).jpg

On pourra aussi savourer les notes de bas de page de Versins, même si son habitude de traduire les titres des ouvrages qui n'étaient pas parus à l'époque force parfois à s'arrêter dans la lecture pour vérifier mentalement de quoi l'on parle, par exemple The long tomorrow de Brackett est traduit -littéralement- par Versins par Le long lendemain alors que ce texte sera finalement sorti en VF comme Le recommencement.

Alpha ou la mort & Le recommencement (OPTA 1976.jpg   The long tomorrow (Ace 1962).jpg

Très lisible et assez décapant, à prendre comme une position très personnelle sur le genre par un acteur majeur de celui-ci.

Le mystère des lunes de Mars (Daniber 1960).jpg

Note GHOR : 1 étoile

18/11/2009

_Encyclopédie visuelle de la Science-Fiction_

Encyclopédie visuelle de la Science-Fiction : Brian ASH : 1979 : Albin-Michel : ISBN-10 2-226-00691-5 : 352 pages (y compris index) : TP largement illustré, se trouve d'occase assez aisément, se trouvait même en neuf il n'y a pas si longtemps.

Encyclopedie visuelle de la sf.jpg

Comme le Holdstock ou le Nicholls, cet ouvrage fait partie de la rafale d'encyclopédies consacrées au genre parues à la fin des années 70. Paru en Grande-Bretagne en 1977 (il en existe aussi une édition US), il sera publié en France par Albin-Michel en 1979 sous une traduction de Jean-Pierre Galante (aidé de J. P. Fontana). En matière de projet, il est plus proche du premier que du second, à savoir qu'il s'agit plus d'un ouvrage d'initiation au genre mettant l'accent sur les illustrations que d'un outil de recherche.

The planet of the double sun (Ace 1967).jpg

Cette encyclopédie est divisée en quatre parties inégales. La première ("Programme" sur soixante pages) est en fait une chronologie détaillée de l'histoire du genre. Présentée sous forme d'un tableau graphique elle liste année par année (et mois par mois) et en détail les évènements (dans l'édition ou le fandom), les films (et séries TV) et les textes importants (nouvelles au début auxquelles s'ajoutent les romans). Un système d'icônes permet de visualiser les plus marquants (premier texte d'un auteur, lancement ou disparition d'un magazine). Des petites vignettes en sépia en illustrent certains. La deuxième partie ("Les thèmes" sur presque deux cents pages) constitue le coeur de l'ouvrage. Elle rassemble dix-neuf essais (préfacés chacun par un auteur célèbre) qui parcourent les principaux thèmes du genre (des voyages spatiaux à l'espace intérieur en passant par les mondes parallèles). Une importante iconographie (couleur et N&B) mêlant illustrations intérieures, couvertures d'ouvrages ou photos agrémente le texte.

The sunless world (Ace 1967).jpg

La troisième partie ("Interface") est très courte (une grosse vingtaine de pages) et propose trois réflexions plus approfondies sur le genre par Cooper, Turner et Ash. Elle est suivie par l'ultime partie ("Fandom et media" sur soixante-dix pages) qui est elle-même divisée en neuf chapitres de taille variable qui abordent les divers domaines ou modes d'expression de la SF (fandom, magazines, cinéma, télévision, BD, UFO ou cultes marginaux...). Un index clôt l'ouvrage qui comporte aussi un glossaire et un petit index thématique localisés au début.

Space war (Ace 1967).jpg

Comme il s'agit du tout premier ouvrage sur le genre que j'ai possédé et qu'il m'a durablement marqué, mon avis est complètement subjectif. Pour moi ce fut la découverte de l'étendue de la SF, la perception d'un genre en mouvement, possédant un histoire assez longue et opérant une réflexion sur lui-même, la possibilité de me constituer mes premières listes de lectures potentielles (grâce aux pertinentes et exactes indications des TF des textes mentionnés) et surtout un émerveillement devant toutes ces images, tous ces livres aux couvertures à la fois naïves mais aussi tellement prometteuses (ah, les blurbs de la série des Hommes-dieux de Farmer), toutes ces textes que j'avais hâte de pouvoir lire (même en VO comme pour les Sector General de White). C'est sans doute par cet ouvrage que le virus de la collectionnite des livres de SF m'a contaminé d'une façon si virulente que j'en suis encore à amasser des ouvrages que j'ai vu pour la première fois dans cette encyclopédie.

Twin worlds (Ace 1967).jpg

Pour essayer d'être un tant soit peu objectif, il faut reconnaître que la partie thématique n'est pas la meilleure du livre. Elle n'est en effet pas extrêmement originale (mais comment l'être au vu du fonctionnement iconique du genre) même si elle fait une place à des textes peu connus. Plus intéressante malgré son côté rébarbatif est la chronologie qui, pour peu que l'on sy plonge, offre une perspective extrêmement formatrice sur l'histoire du genre et permet de bien en suivre l'évolution en plaçant correctement les divers jalons. De même, les trois essais montrent bien la voie d'une analyse du genre qui va bien plus loin que le simple catalogue thématique.

Doomsday on Ajiat (Ace 1968).jpg

On notera aussi l'excellence de l'adaptation française en particulier dans le domaine bibliographique où seules quelques parutions en VF ont échappé aux traducteurs.

A private cosmos (Ace 1968).jpg Behind the walls of Terra (Ace 1970).jpg The gates of creation (Ace 1966).jpg 

Au final, un ouvrage qui mérite une double note GHOR : 4 étoiles pour le coeur et au moins 2 étoiles pour la raison en tenant compte du fait que, par exemple, cet ouvrage est nettement supérieur au Holdstock.

10/11/2009

_Encyclopedia of science fiction_ (Holdstock)

Encyclopedia of science fiction : Robert HOLDSTOCK (consultant editor) : 1978 : Octopus Books : ISBN-10 0-7064-0756-3 : 219 pages (+ index non paginés) : coûtait une dizaine de GBP pour un grand HC (normalement avec jaquette), largement illustré en couleurs.

Encyclopedia of SF (Octopus).jpg

Faisant partie de la vague des encyclopédies sur la SF de la fin des années 70 (voir celles de Ash, Nicholls ou Gunn), cet ouvrage était positionné plus comme un "Beau Livre" que comme un outil pour le chercheur. Il est à remarquer que son éditeur était d'ailleurs inconnu dans le monde de la SF (même si Hamlyn, qui semble faire partie du même groupe en a publié). Sous la direction de Holdstock, il rassemble la plupart des grandes plumes britanniques de la réflexion sur le genre (Ashley, Moore, Edwards) ainsi que des auteurs appelés à être connus (Harrison, Priest, Stableford).

The makeshift rocket (Hamlyn 1978).jpg

A la différence d'autres ouvrages du même type, cette encyclopédie n'est pas organisée par ordre alphabétique. A la place, on y trouve une douzaine d'essais d'au maximum une vingtaine de pages, chaque essai abordant une facette du genre. Une partie d'entre eux sont plus à dominante historique (les débuts du genre, la new wave, l'époque contemporaine de la rédaction de l'ouvrage), certains sont thématiques (les robots, les extraterrestres) et d'autres partent dans diverses directions (les magazines, la sf dans le monde, le cinéma, la prospective). D'une façon assez surprenante pour un tel ouvrage, plusieurs courts articles sont fournis en annexe : sur les collectors du genre, sur le fandom, sur les pseudonymes, les prix, les magazines (sous forme d'une checklist des magazines), les principaux films, les conventions. Un index termine cette encyclopédie.

The mind thing (Hamlyn 1979).jpg

Un aspect essentiel de cet ouvrage est sa remarquable iconographie. Mise en valeur par un papier de qualité et une reproduction sans défauts (certaines pièces étant toutefois reproduites dans une sorte de sépia), celle-ci occupe la moitié du livre avec une alternance de pleines pages et de vignettes de tailles diverses. La proximité des compilateurs avec l'école de l'illustration britannique alors dominante permet aussi de présenter souvent les illustrations telles que créées par les artistes et non telles que reproduites sur les couvertures (c'est à dire débarrassées des éléments externes à l'image). Chacune des illustrations est légendée (mais non indexée).

Norman conquest 2066 (Corgi 1977).jpg

Cet ouvrage n'étant pas une étude pointue du genre, le texte est largement suffisant pour une présentation de la SF à destination d'un public plutôt néophyte. Vu la qualité des auteurs, il réserve même quelques agréables surprises à l'amateur. Pour qui connaît le genre, l'essentiel du plaisir vient de l'iconographie qui est somptueuse même si on peut lui reprocher une orientation britannique très marquée (et accessoirement de ne pas toujours attribuer les illustrations aux ouvrages). Une promenade visuelle très agréable même si elle n'est clairement ni novatrice ni très détaillée.

A martian odyssey (Sphere 1977).jpg

Il est à noter que ce livre sera traduit en français et publié par CIL en 1980 (ISBN 2-7318-0001-1) dans le même format (HC avec jaquette) sous le TF de Encyclopédie de la science-fiction. On remarquera que, pour l'édition française, une partie des annexes a été modifiée avec l'inclusion d'un panorama de la SFF (dû à J. F. Jamoul) qui remplace la partie sur les pseudonymes et les collectors.

Encyclopedie de la sf (Holdstock).jpg

Note GHOR : 1 étoile